La présidente de l’AFCF Aminetou mint Moctar a souligné qu’au cours de l’année 2013 l’AFCF a pu enregistrés 507 cas de viol, 720 cas de violences verbales, 172 cas de violences économiques, 723 cas de violences conjugales, sur le territoire national

. Quelques uns de ces auteurs sont des enseignants, des parents proches, et la majorité sont des chauffeurs de taxi au niveau de la ville de Nouakchott. Ces malfaiteurs n’ont pas été rattrapés jusqu’à présent c’est le cas d’un jeune chauffeur ou propriétaire d’une voiture marque Renauld 305 noir qui a commis plusieurs viol et qui avant de s’abuser de ces victimes leurs donnent des coûts de poing au visage ou les asperge une pompe et qui jusqu’à présent n’est pas arrêté. La majorité des victimes font face a des difficultés réel pour l’accès a la justice et quant elles y accèdent âpres plusieurs jours d’attente ont leur demande d’amener des témoins c’est qui est très difficile ou inexistant dans les cas de viol, s’ajoute a cela la liberté provisoire souvent accordé aux violeurs comme le cas de Brahim a Aleg, le cas d’Akjoujt et celui d’Atar qui n’as même pas été arrêté suite a la complicité de certains autorités judiciaires bien placés. Elles font face aussi a d’autresproblèmes comme les victimes d’inceste( violé par un père, un oncle…) c’est le cas d’un victime que l’AFCF a pris en charge qui a été violé par son oncle et toute sa communauté s’est mobilisé pour faire une pression sur sa famille pour le retrait de sa plainte et le père était sur le point de retiré la plainte. L’AFCF a intervenu pour refuser le retrait de la plainte et convaincre les parents de l’oncle et de la victime de la nécessité d’appliqué la loi sur ce genre de comportement nuisible a la société et a la personne elle-même et éviter aussi que l’auteur prend ce genre de comportement comme une habitude.